Quand on ne court pas nos rues par habitude, on avance toujours fidèlement accompagné de notre téléphone. Cet ami rassurant nous guide, mais il nous ôte aussi le droit de se perdre. Avec cet itinéraire, on optimise notre temps de trajet avec une précision d’horloger. On nous propose même de fuir la rue pour mieux s’encanailler avec la RATP. Mais dans tout ça, ne reste-t-il aucune place pour le pas de côté ? Et si on forçait la marche ?